L’investisseur s’expose, peu ou proue, aux mêmes contraintes que celles liées à l’investissement immobilier traditionnel :
- Le risque immobilier susceptible d’entraîner une baisse de la valeur des actifs.
- Le risque économique susceptible d’engendrer une diminution ou une perte de loyers dues à la possibilité d’impayés ou de vacances locatives.
- Le risque de perte en capital lié à l’absence de garantie de remboursement du montant initialement investi.
- Des frais d’enregistrement et de gestion à prendre en compte.
- Une durée moyenne d’amortissement d’environ 4 ans.
- Une rentabilité qui s’établit sur le long terme (minimum 10 ans).
- Un investissement peu liquide (la revente des parts peut prendre un certain temps).
- Des revenus faibles voire parfois nuls les premiers mois.
- Une fiscalité foncière à prendre en compte.
Le risque en matière d’investissement en parts de SCPI existe comme pour toute classe d’actifs. La SCPI reste un type de placement simple reposant sur un actif tangible et palpable, l’immobilier. Le défaut est plus que rare et les accidents locatifs importants se comptent sur les doigts d’une main en 50 ans d’existence.
Seule une grosse crise immobilière peut mettre en difficulté votre épargne, d’où notre conseil de diversifier ses avoirs et de ne pas tout concentrer sur ce support que nous conseillons néanmoins fortement. (Source Net-investissement.fr)